VETINPARIS offre depuis sa création un service de prise de <a href="https://cms.vetinparis.com/reserver/" target="_blank" rel="noopener">rendez vous vétérinaire en ligne</a>. Le calendrier vous permet à toute heure et de chez vous la prise de rendez vous avec le vétérinaire de votre choix. Il est également possible de sélectionner la raison de ce rendez vous en précisant le motif :
<ul>
<li>Consultation générale,</li>
<li>Consultation vaccinale,</li>
<li>Dermatologie,</li>
<li>Cardiologie,</li>
<li>Cancérologie,</li>
<li>Médecine des Nouveaux Animaux de Compagnie (Médecine des <a href="https://www.vetinparis.com/nac">NAC</a>),</li>
<li>Gastro entérologie,</li>
<li>Médecine Interne spécialisée,</li>
<li>Imagerie....</li>
</ul>
Vous pouvez donc adapter votre emploi du temps à ce rendez vous et ainsi prévoir votre planning à l'avance. Des vétérinaires sont disponibles en journée pour vous recevoir sans rendez vous en cas d'urgences.
Nous vous précisons que pour les rendez vous chirurgicaux ou tout ceux qui nécessitent une anesthésie générale (scanner, dentisterie...), il vous faudra contacter notre standard au 0143070106 afin que notre équipe soignante puisse vous préciser les conditions particulières pour le rendez vous (mise à jeun notamment...) et que vous puissiez poser toutes vos questions.
Pour mieux "Soigner, Respecter, Protéger"
VETINPARIS

Comment prendre rendez vous en ligne sur VetinParis ?

La clinique vétérinaire VETINPARIS est une clinique vétérinaire située entre Paris 11 et Paris 12, entre Bastille et Nation. Nous assurons les <a href="https://www.vetinparis.com/urgences-veterinaires">urgences vétérinaires</a> 24 heures sur 24 et tous les jours de l'année. Une équipe de vétérinaires de garde assistés d'infirmiers vétérinaires vous accueillent pour venir en aide à vos animaux en situation d'urgence. Le plateau technique de dernière génération permet d'assurer des soins et des examens complémentaires complets.
Dans la liste du matériel à disposition, on compte :
<ul>
<li>5 monitorings,</li>
<li>5 générateurs à oxygène,</li>
<li>5 pompes à perfusion et pousse seringues,</li>
<li>27 boxes d'hospitalisation dont 1 box de soins intensifs.</li>
</ul>
Un laboratoire d'analyse sanguine (biochimie, endocrinologie, hématologie, temps de coagulation) est à la disposition du personnel soignant pour réaliser des bilans d'urgence à toute heure.
On note également :
<ul>
<li>3 échographes de dernière génération,</li>
<li>une radiographie numérique à capteur plan,</li>
<li>un scanner Aquilion Lightning Canon,</li>
<li>3 colonnes d'endoscopie (1 digestive, 1 bronchoscope, 1 endoscope rigide).</li>
</ul>
4 postes de consultation permettent d'examiner votre animal en votre présence et s'entretenir au sujet de sa santé et des possibilités thérapeutiques qui s'offrent à nous.
VETINPARIS est une clinique complète dont l'objectif est de suivre votre animal dès son plus jeune âge et toute sa vie pour l'accompagner dans son existence avec les meilleurs soins possibles. Entre le médecin de famille et des soins hospitaliers, VETINPARIS permet d'accéder à des soins et du diagnostic de dernière génération tout en conservant une proximité avec notre patient et sa famille pour personnaliser au maximum sa prise en charge médicale.
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Le service d'urgences vétérinaires VetinParis

Le service d&#8217;urgences vétérinaires VetinParis

<img class="size-medium wp-image-147211 alignright" src="https://cms.vetinparis.com/wp-content/uploads/2022/04/IMG_3291-225x300.jpg" alt="" width="225" height="300" />
La stérilisation chez la chienne est un acte dit de convenance pratiqué quotidienne en <a href="https://www.vetinparis.com/">clinique vétérinaire</a>. Il est parfois difficile pour les propriétaires de passer le pas sachant qu’il s’agit d’opérer un animal en bonne santé. Il est donc important de connaitre les arguments en faveur d’une stérilisation dans cette espèce, arguments avant tout de santé.
<h2>Pourquoi pratiquer une ovariectomie chez la chienne ?</h2>
L’ovariectomie ou stérilisation consiste à retirer les ovaires. C’est donc un acte qui vise à supprimer les capacités reproductrices et donc la production d’hormones sexuelles chez votre chien. Stériliser sa chienne avant les premières ou les deuxièmes chaleurs permet de diminuer considérablement le risque de voir apparaitre un jour dans sa vie des tumeurs mammaires (cancer du sein). D’autre part, la chienne ne connaissant pas de ménopause, la stérilisation permet d’éviter les infections chez la chienne âgée et notamment les pyomètres (infection bactérienne de l’utérus nécessitant une prise en charge chirurgicale le plus souvent et parfois dans un contexte d’urgence).
L’imprégnation hormonale peut également entrainer d’autres pathologies ou désagréments dans la vie de la chienne. La période des chaleurs bien que peu fréquente puisque 2 fois par an est une période longue de 3 semaines avec 1 semaine de saignement au cours de laquelle les sorties et les rencontres avec les congénères peuvent être sources de tension. 
Notons également le risque de voir apparaitre 2 mois après les chaleurs ce que l’on nomme la « grossesse nerveuse » ou lactation de pseudo gestation. La chienne présente une hyperplasie mammaire et une production de lait. Elle est également inquiète et voit son comportement se modifier (baisse d’appétit, refus de sortir, anxiété, agressivité avec ses congénères, hyper-attachement envers ses propriétaires…).
Bien évidemment, à tous ces arguments de santé se rajoute un argument de régulation de la population canine. Nous le répétons chaque année, les refuges débordent et les abandons sont sans cesse en augmentation. La reproduction et donc les naissances doivent être régulées et surtout ne pas être laissées entre les mains de n’importe qui (personne mal informée ou irresponsable).
<h2>Comment se passe la stérilisation ?</h2>
Votre chienne est tout d’abord examinée en consultation. Elle aura été vue théoriquement par votre vétérinaire pour son protocole vaccinal. Dans tous les cas, si la dernière consultation est ancienne, votre animal sera examiné afin de déterminer si son état de santé permet de pratiquer l’ovariectomie dans de bonnes conditions et sans prendre de risque. Il vous sera proposé lors du rendez vous pré anesthésique de réaliser un bilan sanguin de contrôle par sécurité et toujours fortement conseillé par l’équipe soignante. 
Votre chien est ensuite déposé le matin de l’intervention à jeun de la veille au soir minuit. Il est tranquillisé avant l’anesthésie et une voie veineuse est mise en place. Votre chien est ensuite endormi, intubé avec un relais gazeux (oxygène et gaz anesthésique). La douleur est également prise en charge avec administration d’antalgique (analgésie). L’animal est placé sur le dos et « monitoré » (mesure de l’oxygénation (O2 et capnographie) , du rythme cardiaque avec ECG, sonde thermique et mesure de la pression artérielle). Votre animal est ensuite tondu puis une désinfection précautionneuse de la zone chirurgicale est réalisée. Viens le moment de l’intervention avec préhension et retrait des deux ovaires. L’utérus est examiné et laissé en place si son aspect ne présente aucune anomalie. 
Le chirurgien vérifie l'hémostase puis referme plan par plan. L’équipe peut procéder au réveil de l’animal en douceur, au calme et avec mise en place de lampes ou de tapis chauffants si nécessaire. 
Votre animal peut sortir le soir même. 
Il vous sera demandé une photographie de la plaie à nous envoyer par courriel 2 jours après l’intervention et les fils seront retirés au bout de 10 à 15 jours.
Pendant ce laps de temps, vous devrez laisser votre chien au repos (sortie en laisse et uniquement pour les besoins, pas de saut pas de jeu) et conserver la collerette ou un body pour éviter qu’il ne se lèche la plaie ou retire les fils.
En cas de question ou pour prendre rendez vous, vous pouvez nous contacter au standard sur le 0143070106 ou par courriel contact@vetinparis.com. Notre équipe d’infirmiers se fera un plaisir de vous répondre.
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L'équipe VETINPARIS

La stérilisation chez la chienne ? Pourquoi et comment en pratique?

L’hypertension artérielle chez le chat est une affection fréquente. Elle concerne le chat âgé (de plus de 8 ans classiquement) ou le chat présentant des pathologies prédisposantes. On distingue l’hypertension artérielle primaire sans cause sous jacente de l’hypertension artérielle secondaire à d’autres maladies comme principalement l’insuffisance rénale chronique et l’hyperthyroïdie.
<h2>Quels sont les signes qui doivent vous alerter ?</h2>
Bien que l’hypertension féline passe très souvent inaperçue, certains signes doivent vous alerter et motiver une <a href="https://www.vetinparis.com">consultation chez votre vétérinaire</a>.
<ul>
<li>la perte de poids</li>
<li>la fonte musculaire</li>
<li>un poil piqué et moins dense</li>
<li>une fatigue (l’animal dort davantage et est moins interactif avec vous ou avec ses congénères)</li>
<li>une augmentation de la prise de boisson</li>
<li>des troubles digestifs (vomissements et diarrhées)</li>
<li>des troubles oculaires comme une perte de la vue (pupille dilatée ce qui rend l’oeil noir), un saignement de la chambre antérieure de l’oeil (hyphéma).</li>
<li>un essoufflement à l’effort</li>
<li>tout changement de comportement et modification de la voix (voix rauque)</li>
</ul>
<h2>Comment se détecte une hypertension chez votre chat ?</h2>
Votre vétérinaire prendra la tension le plus souvent en posant le brassard à la base de la queue. La prise de tension ne prend que quelques secondes et n’est pas douloureuse. Vous vous placez à la tête de votre chat pour diminuer son stress. La tension maximale acceptée chez le chat en consultation est de 16 puisque l’on tient compte de l’élévation de la tension simplement liée à l’anxiété du chat en clinique vétérinaire. Au delà de 16, votre chat est considéré comme hypertendu et il sera alors nécessaire de procéder à d’autres examens. Une prise de sang est recommandée pour mesurer les paramètres rénaux et doser l’hormone thyroïdienne. Un bilan biochimique plus large est fortement indiqué (valeurs du fonctionnement hépatique, glycémie, taux de protéines) ainsi qu’une numération formule sanguine et un ionogramme. Un examen échocardiographique fait parti des explorations nécessaires pour apprécier des éventuelles complications cardiaques liées à l’hypertension prolongée (hypertrophie du myocarde, dilatation cavitaire, éventuel thrombus…).
<h2>Comment traiter l’hypertension artérielle chez votre chat ?</h2>
Un traitement des affections responsables de l’hypertension le cas échéant est instauré (traitement de la maladie rénale chronique, alimentation adaptée, traitement de l’hyperthyroïdie). L’hypertension et ses conséquences requièrent un traitement à vie par l’utilisation d’hypotenseurs et de traitements de soutiens cardiaques si nécessaires.
<h2>Comment se passent les contrôles?</h2>
En règle générale, les contrôles sont au départ rapprochés de quelques semaines pour apprécier l’efficacité du traitement et en corriger les dosages en fonction des résultats. Une fois le dosage correct trouvé, les contrôles peuvent être espacés de 3 à 6 mois. Votre vétérinaire vous demandera une vigilance plus accrue concernant le poids de votre animal en le pesant une fois tous les 15 jours pour être certains qu’il ne perde pas de poids. En cas de perte de poids, les contrôles seront avancés.
En somme, l’hypertension artérielle du chat est une pathologie extrêmement fréquente chez le vieux chat. Il convient de la prendre en charge tout comme ses causes et ses conséquences. Cette systématisation de la prise en charge de l’hypertension féline est un des éléments permettant d’augmenter l’espérance de vie de nos animaux tout en améliorant sensiblement leur qualité de vie.
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Isabelle Pasquet pour VETINPARIS le Blog

L’hypertension artérielle chez le chat, causes, conséquences et traitements?

Article pour les enfants de 8 à 12 ans. Retrouvez une description de notre quotidien de vétérinaires, par <a href="https://www.lacabaneajouerdecdiscount.com/8-12-ans/prendre-soin-des-animaux-decouverte-du-metier-de-veterinaire/" target="_blank" rel="noopener">la cabane à jouer.</a>
Tu aimes les animaux et le métier de vétérinaire te fait rêver ? La Cabane à Jouer te propose d’en découvrir plus à ce sujet. Pour cela, on a discuté avec Isabelle Pasquet, fondatrice et docteure vétérinaire, qui nous raconte comment se passent les journées au sein de sa clinique. Zoom sur cette profession passionnante !
<h2>Journée type dans une clinique vétérinaire</h2>
Isabelle Pasquet gère la clinique <a href="https://www.vetinparis.com" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Vetinparis</a>, située dans le XIe arrondissement de Paris.
« Au sein de notre clinique de ville, nous prenons en charge des chiens, des chats et des Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC : rongeurs, oiseaux, reptiles, et bien d’autres). Nos vétérinaires partagent leur temps entre les consultations et notre service d’urgence, un peu comme à l’hôpital. »
Les journées des vétérinaires sont denses et ne se ressemblent pas : « Nous arrivons à la clinique entre 7h30 et 8h30. Les consultations commencent dans la foulée et sont censées se terminer vers 19h. Mais nous ne sommes jamais à l’abri qu’une urgence arrive et nous devons alors porter secours à l’animal en question. Après 19h, l’équipe de garde prend la relève. Un temps est alors dédié pour leur expliquer les situations des animaux hospitalisés. En général, nous savons quand nous arrivons, mais pas vraiment quand nous repartirons de la clinique. »
<h2>Le métier de vétérinaire, c’est quoi ?</h2>
Les consultations se font en plusieurs étapes. Isabelle Pasquet nous explique : « Après avoir pris rendez-vous, l’animal et son maître ou sa maîtresse sont accueillis par nos infirmiers. Le dossier qui détaille les informations sur l’animal est envoyé sur l’ordinateur du vétérinaire et la consultation peut débuter. Elle commence toujours par des questions afin de connaître le but de la visite et d’avoir le maximum d’informations sur l’animal. Après cela, vient le moment de l’examen clinique (ndlr : c’est lorsque le vétérinaire regarde l’état de santé de l’animal). Une consultation se termine soit par un traitement (ndlr : on lui donne des médicaments), soit par des examens complémentaires (prises de sang, imagerie, etc.). Si le vétérinaire décide qu’une intervention chirurgicale est nécessaire, nous gardons l’animal dans la clinique (après avoir préalablement évoqué le coût et eu l’accord du maître). Il passe alors dans notre secteur hospitalisation. Après l’intervention, les soins sont confiés aux infirmiers et les vétérinaires passent régulièrement surveiller l’état de l’animal. »
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<figure class="aligncenter size-large is-resized"><img class="alignnone wp-image-12937" src="https://www.lacabaneajouerdecdiscount.com/wp-content/uploads/2021/11/métier-vétérinaire-consultation.jpg?w=640" sizes="(max-width: 480px) 100vw, 480px" srcset="https://www.lacabaneajouerdecdiscount.com/wp-content/uploads/2021/11/métier-vétérinaire-consultation.jpg 640w, https://www.lacabaneajouerdecdiscount.com/wp-content/uploads/2021/11/métier-vétérinaire-consultation.jpg?resize=300,200 300w" alt="Soin animal par un vétérinaire" width="480" height="320" /></figure>
</div>
Après la consultation et l’éventuelle intervention, les vétérinaires ont une étape importante à réaliser : rassurer et informer les maîtres et les maîtresses des animaux : « Lorsqu’un animal est chez nous, nous les appelons en moyenne deux fois par jour afin de les tenir au courant de la situation. Mais une des étapes cruciales est la sortie d’hospitalisation. A ce moment-là, nos vétérinaires s’assurent que la situation de l’animal et les démarches à suivre dans le futur (médicaments à donner, soins à faire, etc…) sont bien comprises par la personne qui vient le récupérer. Un moment important pour la santé et le bien-être de l’animal. »
Bien évidemment, le métier de vétérinaire dans une ville, à la campagne ou au sein d’un parc animalier n’est pas vraiment le même. Le quotidien en campagne, où le professionnel doit se déplacer de ferme en ferme, et celui en zoo, où un travail est réalisé afin de préserver au maximum l’instinct sauvage des animaux, sont différents. Mais une chose les relie toujours : la passion des animaux !
<h2>Je voudrais devenir vétérinaire, comment fait-on ?</h2>
Dans un premier temps, tu auras besoin d’obtenir ton baccalauréat. Une fois ce diplôme en poche et le lycée terminé, deux options sont possibles. La première consiste à ce que tu t’inscrives dans une classe préparatoire. Elle te permettra de te préparer à passer le concours d’entrée national pendant deux ans afin d’obtenir ta place dans une École Nationale Vétérinaire. La seconde option existe, quant à elle, depuis 2021. Elle permet aux lycéens de directement postuler à ces écoles via la plateforme Parcoursup. Pour pouvoir être sélectionné(e), ton dossier scolaire sera examiné, puis tu passeras des entretiens individuels.
En France, quatre établissements de l’enseignement supérieur forment au métier de vétérinaire. Il s’agit de l’Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort, de l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse, de l’Ecole Nationale Vétérinaire, Agroalimentaire et de l’Alimentation Nantes Atlantique et de l’Ecole Nationale Vétérinaire de Lyon. Si tu es reçu(e) dans l’un de ces établissements, tu débuteras une période de quatre années de formation et d’une année supplémentaire d’approfondissement. Ce parcours sera finalement terminé quand tu auras passé ta thèse de doctorat (la thèse est le seul diplôme qui permet d’exercer la médecine et la chirurgie des animaux). Si tu arrives jusque-là, tu obtiendras le titre de docteur vétérinaire !
Au final, si tu aimes les animaux et que tu souhaites pouvoir les aider et les soigner, le métier de vétérinaire est pour toi. Il te reste maintenant à étudier et à tout faire pour réaliser ce rêve.
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VETINPARIS pour la Cabane à jouer.

Prendre soin des animaux, découverte du métier de vétérinaire pour les 8/12 ans.

<h2>Informations générales sur le cochon d'Inde</h2>
• Nom anglais : Guinea pig • Longévité : 5 à 8 ans • Poids adulte : de 1kg (mâle) à 0.9 kg (femelle) • Mode de vie : diurne • Température corporelle : 37.5C-39.5C • Maturité sexuelle : 10 semaines pour les mâles, 6 semaines pour les femelles • Durée de gestation : 68 jours • Taille de la portée : 2 à 4 petits
<h2>Comportement du cochon d'Inde</h2>
Le cochon d'inde est un animal très peureux et facilement stressé. Il est conseillé d'avoir plusieurs individus (au moins 2) pour qu'ils se sentent plus à l'aise en captivité. Attention : l’association entre 2 mâles peut engendrer des bagarres ; l’association entre 1 mâle et 1 femelle non stérilisée pubère peut amener à un accouplement. Cohabitation avec d’autres espèces : attention aux risques de blessures entre les animaux. Il faut faire attention à la cohabitation entre cochon d’inde et lapin car ce dernier pourrait lui transmettre une bactérie responsable de problème respiratoire. 
<h2>Habitat </h2>
Cage : Enclos ou cage à barreaux, à l’abri des courants d’air, taux d'humidité: 55% pour éviter les problèmes respiratoires. Taille : 100x40x50cm au moins. Le cochon d'inde est sujet à l'obésité. Il est donc important qu'il puisse se dépenser convenablement. Substrat : litière végétale (chanvre, ...), dans un bac à l’opposé de l’alimentation. Serviette DRYBED, tapis de Yoga, ou couverture dans le reste de la cage pour assurer une surface molletonnée au contact et diminuer le risque de pododermatite. Attention aux litières de cèdre, de pins, parfumées ou de foin qui sont trop irritantes pour les voies respiratoires des cochon d'inde.
Matériel : râtelier pour le foin, mangeoire lourde pour végétaux, granulé et eau (à renouveler tous les jours) Accessoires : cachettes (carton, tunnel,maisonnette,...).
<h2>Exercice </h2>
2-3 heures par jour en intérieur ou enclos extérieur (selon température). Cela est très important pour stimuler le transit digestif et pour diminuer le risque d’obésité. Mettre un tapis, serviette ou DryBed au sol pour diminuer le risque de pododermatite. 
<h2>Quelle alimentation pour mon cochon d'Inde ?</h2>
Les cochons d'inde ont des herbivores stricts. Ils sont très sensibles aux changements rapides dans l’alimentation. Toute modification doit être faite graduellement.
 • VITAMINE C Le cochon d'inde n'est pas capable de la synthétiser (comme les humains). Afin d'éviter le scorbut: conséquence d'une carence en vitamine C, cette dernière devra être préférentiellement administré par voie orale tous les jours.Attention: dégradation rapide dans l'eau de boisson. On notera qu'en cas de croissance, de gestation, de maladie, les besoins en vitamine C sont doublés.
 • FOIN A VOLONTE (80% DE LA RATION) Foin de fléole, foin de crau, foin de montagnes, foin de céréales Marque conseillée : Oxbow (gamme Timothy) Intérêt : assure une usure correcte des dents et bonne digestibilité
 • Légumes riche en Vitamine C ( Exemple) et légumes verts feuillus (Chez adulte : 1 à 2 poignées par jour selon la taille, au moins 3 différents par jours) Fanes de carottes, orange, feuille de betterave, brocolis, poivron rouge, feuille d’artichaud, blettes, feuille de brocoli, céleri branche (feuille et branche), céleri rave, cerfeuil, chicorée, feuille de chou (en quantité faible), cresson (attention riche en Ca), feuilles de fraisier/framboisier, menthe, feuille de moutarde, batavia, salade : feuille de chêne/frisée/lolo rossa/scarole/ mâche Herbes aromatiques fraîche également appréciées : aneth, coriandre, estragon, origan, thym, persil frais (sinon toxique), romarin, sariette, serpolet,... ATTENTION: Tomate, épinard et les fruits riches en Vitamine C doivent être donnés avec modération car riche en calcium et sucre. Gourmandise ! 1 à 2 fois par semaine.
 • Granulés ou Extrudés (pas de mélange de graines) Quantité&lt;20g/kg/j : (Oxbow, Supreme Science, Beaphar) : non essentiel pour les cochons d'inde ayant une quantité de foin et de légumes suffisant. Une trop grande quantité donnée chaque jour prédispose aux problèmes dentaires, à l’obésité et aux problèmes de digestion. 
Liste des aliments à ne pas donner à votre cochon d'Inde : soja, avocat, chou blanc, oignon, ail, oseille, pomme de terre, épluchures, pain, sucrerie, chocolat, bâtonnet de céréales et fruits secs.
<h2>Médecine vétérinaire préventive</h2>
• Vaccination : aucune • Vermifugation : nécessaire si symptômes d’infections parasitaires • Reproduction Si vous souhaitez faire reproduire votre femelle, mettre impérativement à la reproduction avant l’âge de 8mois (et après 5 mois). A partir de cet âge, leur bassin se soude et de gros risques sont à prévoir lors d'une mise-bas tardive. • Stérilisation Mâle : Stérilisation par voie abdominale (moins de complication) ou scrutateur. Femelle: Ce n'est pas une chirurgie de convenance =&gt; effectuée en cas de développement de kystes ovarienne secrétant .
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DV BUSCARA pour NACINPARIS

Le cochon d'Inde : tout savoir sur le Cavia Porcellus

Le cochon d&#8217;Inde : tout savoir sur le Cavia Porcellus

Avec l’augmentation de la durée de vie du lapin (entre 10 à 12 ans), un suivi rapproché est souvent nécessaire au minimum deux fois par an pour prévenir l’apparition ou anticiper les conséquences de maladie liées à la vieillesse.
A partir de l’âge de 5 à 6 ans, certaines affections sont à surveiller de près, telle que l’arthrose, les insuffisances rénales chroniques, les tumeurs, etc. La gestion médicale est alors discutée suite à un examen clinique approfondi lors d’une <a href="https://www.vetinparis.com/nac">consultation vétérinaire NAC</a>. Ceci afin d’offrir à votre lapin le plus de confort pour ses vieux jours.
<h2>L’arthrose</h2>
Cette maladie dégénérative des articulations engendrée par la sénescence est traitée de manière palliative et non curative pour gérer la douleur. Celle-ci se manifeste par des boiteries, des fontes musculaires, malposition du ou des membres desquelles découlent des complications (pododermatite, souillure périanale…). Elle est assez fréquente chez nos lapins domestiques.
De ce fait, différentes approches thérapeutiques sont envisagées et discutées :
<ul>
<li>La gestion de l’habitat et de l’alimentation (obésité) : cage à un seul étage, sans obstacle, un sol non glissant et molletonné toujours bien sec et propre.</li>
<li>La phytothérapie, médecine douce, réalisée à base du principe actif présent dans les plantes (cf post phytothérapie NACINPARIS), ne présente aucun effet secondaire et permet de stabiliser un grand nombre de nos patients. Elle peut être utiliser seule ou en complément (exemple LASER).</li>
<li>Le laser thérapeutique est une technique indolore et non invasive cherchant à apporter sur le site douloureux, les cellules saines du système immunitaires, et ceci afin de stimuler la cicatrisation, l’effet antalgique et anti-inflammatoire.</li>
<li>Les traitements médicamenteux (meloxicam, gabapentine, cannabidiol) sont envisagés en dernier recours et après discussion du bénéfice risque. Ils sont prescrits en compléments et par cure. Ils ont l’avantage d’agir rapidement en cas de crise algique aigues mais ne sont pas sans conséquence sur le métabolisme vieillissant de votre animal.</li>
</ul>
<h2>L’insuffisance rénale chronique</h2>
Elle est fréquente chez le lapin âgé de plus de 5 ans. Elle est la conséquence d’une diminution sévère des unités fonctionnelles des deux reins. Elle peut se manifester cliniquement par une augmentation de la prise de boisson concomitante à l’élimination des urines, un amaigrissement et/ou fonte musculaire, des positions antalgiques, un poil piqué, une dysorexie pouvant aller jusqu’à hypovigilance et décès de l’animal. Au plus tôt elle est diagnostiquée, au mieux elle sera stabilisée et un suivi régulier est indispensable à la gestion de cette pathologie.
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par le service NACINPARIS
DV Buscara, DV Ménard, DV Samyde

La gériatrie chez le lapin : comment gérer la vieillesse de votre lapin

<h2>Informations générales sur le Chinchilla 
</h2>
Nom anglais : Chinchilla 
Longévité : 10-15ans 
Poids adulte : Mâle 400-500g, Femelle 450-850g 
Mode de vie : crépuscule et nocturne 
Température corporelle : 36.8C-38.2C 
Maturité sexuelle : 9 mois pour les mâles, 4-5 mois pour les femelles 
Durée de gestation : 105-118 jours 
Taille de la portée : 1-6 (2 petits en moyenne)
<h2>Comportement du Chinchilla</h2>
Le chinchilla est un animal grégaire dans la nature. En captivité, il supporte mal d’être seul.
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<h2>Alimentation du Chinchilla</h2>
Les chinchillas sont des herbivores stricts. Ils sont très sensibles aux changements rapides dans l’alimentation. Toute modification doit être faite graduellement. 
FOIN A VOLONTE (80% de la ration). Foin de graminées, de 1ère coupe, à grosse tige. (Oxbow gamme chinchilla) Particularité : un foin sec et ligneux est indispensable pour permettre une bonne usure chez cette espèce à la dentition particulière. 
Granulés : quantité &lt;20 g/kg/jour : (Oxbow, Supreme Science, Beaphar, Versele Laga) 
A donner le soir au début de leur activité nocturne. Attention, une trop grosse quantité donnée chaque jour prédispose aux problèmes dentaires, à l’obésité et aux problèmes de digestion. 
Légumes et fleurs séchées (1 petite poignée 1x/jour) : sauge, origan, basilic, menthe, camomille, anis, estragon, pimprenelle, hysope, cataire, marrube… 
Friandises : branches (pommiers ou noisetiers) pour l’usure dentaire, bouton de rose, feuille de chardon, racine de pissenlit…. On évitera tous ce qui est riche en sucre et prédispose à l’obésité (raisins secs, banane séchées…) 
Attention aux légumes et fruits frais : très riche en eau et souvent mal toléré par les chinchillas.
Liste d'aliments à ne surtout pas donner : soja, avocat, chou blanc, oignon, oseille, ail, pomme de terre, épluchures, pain, sucreries, chocolat, bâtonnets de céréales et pierre minérale.
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<h2>Médecine préventive</h2>
Vaccination : aucune 
Vermifugation : nécessaire s’il sort ou présente des symptômes d’infection parasitaires 
Stérilisation 
Mâle : par voie abdominale ou scrotale 
Femelle : par voie abdominale. Ce n’est pas une chirurgie de convenance !
DV BUSCARA pour le service NAC NACINPARIS

Le chinchilla: fiche conseil par le Dr Buscara NACINPARIS

Pour choisir un chaton qui ait le potentiel pour être un super chat de compagnie, nous vous emmenons faire un tour dans l’enfance du chaton, afin de comprendre toute ce qui se joue à cette période, et pourquoi certains chatons ont le potentiel pour être sociables et faciles et d’autres (beaucoup) moins !
Le chaton se développe très vite : en seulement 2 mois, il est capable de vivre de façon autonome. La petite enfance du chaton a beaucoup d’influence sur sa vie et son caractère futurs : en effet, son cerveau et son comportement se fabriquent en fonction de son environnement et des expériences qu’il vit à cette période. La présence et l’intervention de sa mère à cette période, à la fois rassurante et régulatrice, sont fondamentales.
<h2>La vie prénatale</h2>
Les chattes portent leurs petits pendant 2 mois. Dès la seconde moitié de la gestation, le chaton peut percevoir le monde : il ressent les bruits et le contact tactile sur le ventre de sa mère. Après sa naissance et jusqu’à 3 semaines de vie, les bruits et les contacts sur son corps restent les seuls messages que son environnement lui envoie. Ces premières expériences sensorielles s’impriment dans la mémoire du chaton, elles définiront notamment sa capacité future à supporter le contact physique. C’est pourquoi il est conseillé de caresser doucement le ventre des chattes gestantes (si elles le supportent, bien sûr), afin d’habituer les chatons au contact agréable dès leur vie intra-utérine.
<h2>Sevrage alimentaire et autonomie</h2>
A partir de 3 ou 4 semaines, le chaton peut voir et se déplacer tout seul. Il commence à gouter les aliments solides. Entre 5 et 7 semaines, les chatons sont sevrés d’un point de vue alimentaire, mais ce n’est pas synonyme d’une complète autonomie ! L’éducation maternelle, si importante pour l’équilibre comportemental futur, doit continuer jusqu’à ce que les chatons aient 2 mois environ.
<h2>De 1 à 3 mois : à l’aventure !</h2>
Entre 1 et 2 mois, le chaton apprend à éliminer et recouvrir ses besoins, chasser, contrôler ses mouvements, se comporter avec mesure, s’enfuir s’il y a un danger. Ces apprentissages reposent sur l’éducation par la mère, qui montre, régule et contrôle, et sur le jeu avec la fratrie.
Le milieu de vie influence profondément les acquisitions. Le chaton s’imprègne des éléments qui composent son environnement, en prenant pour modèle les réactions de sa mère et de ses frères et sœurs. Il mémorise et archive ses expériences : ce qu’il a rencontré et exploré sans peur devient un élément connu. Jusqu’à 10 ou 12 semaines, la curiosité l’emporte et le chaton part à la découverte de tout ce qui l’entoure. La présence de sa mère le rassure et l’encourage.
Passés 3 mois, l’exploration devient plus mesurée et moins débridée, sans compter que le plus souvent, il est désormais séparé de sa fratrie : il a donc plus facilement peur. C’est pourquoi il est si important d’exposer les chatons à de nombreuses expériences et découvertes avant leur adoption.
La socialisation aux autres espèces est la racine de la sociabilité. Entre 3 et 10 semaines, le chaton apprend quelles sont les espèces « amies » et comment communiquer avec elles : il s’agit du processus de socialisation. La socialisation concerne d’abord l’espèce humaine : elle est la base de la relation entre le chat et l’homme. Le chaton peut également se socialiser à d’autres espèces, en fonction des animaux présents à cette période : chiens, rongeurs, animaux de ferme… A l’âge adulte, face à une espèce à laquelle il n’est pas socialisé, le chat la considère soit comme appétissante (petite proie), soit comme dangereuse et effrayante…
Après 3 ou 4 mois, un chaton est encore capable de découvrir de nouvelles espèces ou un nouvel environnement mais le processus de familiarisation est plus long, nécessite plus d’expériences positives, et est réversible (la familiarisation « se perd » facilement). C’est là tout le challenge des propriétaires qui adoptent un chaton sauvage, récupéré dans la rue et/ou de mère sauvage, et dont la relation à l’homme est à construire…
<h2>Choisir un chaton : comment mettre toutes les chances de son côté ?</h2>
Observez sa mère : elle est son premier et son principal modèle ! Le chaton a de grandes chances de lui ressembler en matière de caractère, de tolérance, et de socialité. 
Observez le milieu de vie dans lequel il s’est développé : un chaton né en maison, entouré d’enfants et d’animation sera plus adapté à une vie de famille qu’un chaton qui a grandi au fond d’une cabane, sans stimulations ni relations sociales. 
Assurez-vous que le chaton a passé au minimum 8 semaines avec sa mère (ou, à défaut, avec un autre animal adulte, chat ou chien, qui s’en est vraiment occupé) et sa fratrie éventuelle. 
Écoutez votre intuition quand vous le rencontrez : assurez-vous d’avoir le feeling réciproque et que le chaton n’a ni peur de vous ni, à l’inverse, des réactions agressives. 
Adoptez votre chaton vers 8 ou 10 semaines, pour qu’il puisse s’adapter à son nouvel environnement avant la fin de sa période socialisation. C’est d’autant plus important si l’environnement que vous allez lui offrir est plus riche que le milieu dans lequel il a grandi (bruits, stimulations, animaux, enfants).
Beaucoup de propriétaires adoptent des chatons semi-sauvages et construisent avec eux une relation unique de confiance, souvent très forte ! L’objectif de cet article n’est pas de vous décourager à adopter des chatons sauvés par des associations, mais juste de souligner que pour faire un « chat-roudoudou » pour des enfants, par exemple, l’idéal est d’adopter un chaton qui en côtoie depuis sa naissance et qui sait déjà les apprécier !
<h2>Développement du chaton et acquisitions âge par âge</h2>
Le développement du chaton se fait selon un planning précis : chaque acquisition se fixe à un âge défini. Au-delà de cet âge, les acquis restent relativement stables : c’est pourquoi les conditions de développement du chaton ont tant d’influence sur son comportement futur.
<ul>
<li style="text-align: left;">De la deuxième moitié de gestation à la 3ème semaine de vie : le chaton fixe sa capacité à tolérer le contact physique (caresses, manipulations) et sa capacité à supporter la contrainte (être attrapé, immobilisé)</li>
<li style="text-align: left;">Sevrage alimentaire : entre 4 et 6 semaines, le chaton est capable de s’alimenter seul.</li>
<li style="text-align: left;">Contrôle de soi : entre 3 et 10 semaines le chaton apprend à contrôler, à inhiber ses mouvements et ses agressions.</li>
<li style="text-align: left;">Découverte de l’environnement : chaque objet, bruit ou événement connu est trié en « dangereux », « inoffensif » ou « attrayant ».</li>
<li style="text-align: left;">Socialisation : quelles sont les espèces amies ? Comment communique-t-on avec elles ?</li>
<li style="text-align: left;">Détachement : entre 7 et 9 semaines, progressivement rejeté par sa mère, le chaton peut vivre en autonomie dans son milieu de développement</li>
</ul>
Texte et photos : Jasmine Chevallier, <a href="https://www.vetinparis.com">vétérinaire</a> comportementaliste DIE

Bien choisir son chaton, enfance et développement du chat

Pourquoi mon chat fait la tête quand je pars en Week-end?

<h2>Un investissement utile</h2>
Si vous venez d’adopter un chat, l’acquisition d’une caisse adaptée est à voir comme un investissement. Pour votre chat et vous, elle sera bientôt la meilleure alliée ou la pire ennemie lorsqu’il s’agira de se déplacer en voyage ou chez le vétérinaire. Une caisse tout confort coute entre 25 et 60 euros, et si elle est de bonne qualité, elle durera toute une vie.
<h2>Une caisse solide</h2>
Un chat très énervé peut déployer une force insoupçonnable, casser sa caisse ou déchirer son sac, et s’en échapper (en voiture, dans la rue, ou au milieu de la salle d’attente du vétérinaire) : choisissez donc un objet robuste pour préserver sa sécurité.
<h2>Une caisse facile à nettoyer et à désinfecter</h2>
Les chats n’aiment pas les odeurs des autres, et le transport peut les faire uriner, vomir, baver ou déféquer (voire les 4 à la fois). Evitez le bois ou les tissu fragiles : choisissez des matières synthétiques lavables à grande eau.
<h2>Une caisse rigide qui ne s’affaisse pas</h2>
Les paniers, sacs ou caisses en tissu qui s’effondrent sur le chat sont à proscrire absolument : c’est désagréable pour lui et vous aurez bien des difficultés à l’y faire rentrer, surtout quand il n’est pas d’accord. Si vous optez pour un panier/sac à dos en tissu synthétique, assurez-vous qu’il est rigide (il doit garder sa forme même s’il est vide).
<h2>Une caisse suffisamment large</h2>
Adaptez la caisse à la taille de votre chat, afin qu’il ne soit pas « encastré » à l’intérieur. La taille adulte de votre chat est difficile à estimer quand il est bébé, vous pouvez donc différer cet achat à son 1er anniversaire, par exemple, sinon il vaut toujours mieux « trop grand » que « trop petit », même si c’est un peu plus cher.
<h2>Une caisse qui s’ouvre impérativement en grand et/ou sur le dessus</h2>
Faire rentrer un chat dans une caisse de transport s’il n’est pas d’accord est parfois « sportif » et peut tourner au drame (agression violente, traumatisme durable). Les caisses de transport à ouverture sur le dessus sont, de loin, les plus pratiques. Certaines s’ouvrent aussi sur le devant, d’autres ont juste un couvercle. Dans tous les cas, une large ouverture est indispensable pour éviter les bagarres avec votre compagnon quand vous voudrez qu’il y rentre, et ne pas faire de ce moment un souvenir abominable.
<h2>Une caisse qu’on rendra agréable pour le chat</h2>
Laissez la caisse ouverte dans un coin de votre salon pour que votre chat la connaisse bien (tant pis pour la déco !). Installez-y une polaire douillette. Utilisez des phéromones apaisantes, <a href="https://www.vetinparis.com">demandez conseil à votre vétérinaire</a>.
Disposez régulièrement quelques friandises que votre chat doit aller chercher dans sa caisse de transport ouverte. Pour les transports, ajoutez une alèse absorbante pour limiter l’ampleur des « accidents » (pipi, caca, vomi). Ne lui mettez pas d’eau dans une coupelle : il risque de tout renverser, d’être trempé, et d’en garder un mauvais souvenir. Quand vous mettez votre chat dans la caisse/sac/boite, pas de cris, pas de brutalité, vous devez réussir en douceur et « du premier coup ».
Si les choses tournent mal et que votre chat s’énerve, ne le poursuivez pas dans votre appartement : reportez votre déplacement de quelques heures et laissez-le se calmer avant de réessayer.
Dr vétérinaire. Jasmine Chevallier, DIE vétérinaire comportementaliste, Vétérinaires du Clos des Anges, 600 route de Bandol, 83270 St Cyr sur Mer.
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Choisir une caisse de transport pour son chat

Adopter un chien adulte pour lui offrir une deuxième vie est une bonne action, un engagement pour lutter contre la misère animale et le risque d’euthanasie pour ces milliers de chiens abandonnés chaque année en France. Pour autant, que vous adoptiez un chien adulte en refuge ou via un site de petites annonces, quelques règles de base doivent être respectées dès les premiers jours car c’est sur vous que repose désormais sa chance de prendre un bon départ dans sa deuxième vie…
<h2>Soyez prêt à vivre un peu d'imprévu</h2>
Quoi qu’on vous dise sur le chien que vous allez adopter, soyez conscient que beaucoup d’entre eux sont abandonnés car leur caractère et leur comportement n’étaient pas conformes aux attentes de leur ancien propriétaire. Les problèmes de comportement sont en effet la première cause d’abandon des chiens. 
Beaucoup de chiens adoptés prennent un nouveau départ réussi et vivent une deuxième vie heureuse : les troubles du comportement qui apparaiseent dépendent de l’animal, d'une pathologie éventuelle, mais aussi du contexte de vie dans lequel il évolue. En changeant de vie, certains chiens changent profondément. Mais ce n’est pas toujours le cas, et vous devez accepter l’idée d’avoir peut-être quelques surprises. 
Vous devrez être capable d’un peu de flexibilité et d’adaptation pour rééduquer, si nécessaire, ce chien qui n’aura peut-être pas acquis les bases pour être un « chien facile à vivre ». Soyez près à accepter ses bagages et à agir pour l’aider… notamment en vous tournant vers un professionnel compétent dès que des problèmes apparaissent.
<h2>Ressentez le coup de foudre</h2>
Soyez attentif au coup de cœur que vous ressentez lorsque vous vous retrouvez en face de ce chien abandonné qui cherche un maitre. Si le coup de cœur est réciproque, vous avez de grandes chances de pouvoir bâtir cette solide base d’attachement qui est nécessaire au processus de résilience : l’amour ne guérit pas tout à lui tout seul, mais il est une condition nécessaire à une relation épanouie entre un propriétaire et son chien… 
Si quelque chose vous fait hésiter, que vous ne « sentez pas » ce chien, soyez capable de dire non : le pire serait pour lui d’être abandonné une deuxième fois… 
Autre point, respectez les informations qui vous sont données : vous ne pourrez pas forcément transformer un chien qui a des comportements très ancrés, ne soyez pas trop ambitieux et restez attentifs aux éléments que vous transmettent les personnes qui vous le confient.
<h2>Ne lui sautez pas sur le poil</h2>
Changer d’environnement est une situation stressante pour un chien. S’il a vécu en refuge, il aura sans doute conscience de gagner au change en trouvant le confort d’un foyer, mais pour autant, pas besoin de convoquer toute votre famille et tous vos amis dès son arrivée : les membres du foyer, ceux qui sont amenés à vivre avec lui à l’avenir, sont suffisants lors de l'accueil. 
L’agitation, l’énervement, la surpopulation et les contacts forcés (bisous et câlins intrusifs) sont des sources de stress intenses pour ce chien qui ne sait pas encore « où il est » et peuvent, dans le pire des cas, générer de mauvaises réactions comme des agressions, qui auraient des conséquences fâcheuses sur le lien à tisser.
<h2>Si vous avez d'autres chiens, faites une rencontre en terrain neutre</h2>
Faites rencontrer les chiens dans un endroit neutre et sécurisé (parc à chiens en dehors des heures d’affluence,  jardin clos) afin d’éviter tout comportement de rejet de la part de votre ancien chien, qui pourrait considérer le nouveau comme un intrus indésirable s’il le voit débarquer dans son salon sans prévenir. Plusieurs rencontres peuvent être nécessaires, mais dans tous les cas, entre eux, il faut que « ça colle » : dans le cas contraire les choses risqueraient de ne pas bien se passer ensuite. 
A la maison, si votre ancien chien gronde le nouveau, n’intervenez pas, ils doivent établir leurs règles entre eux. Ne faites surtout pas du nouveau un « chouchou », gardez beaucoup de contacts avec votre ancien chien, et respectez l’ordre de priorité qui s’établit entre les deux. 
Si des tensions apparaissent entre les chiens en votre présence, ne tentez pas de faire justice et envoyez les deux chiens au panier, chacun dans son coin.
<h2>Reprenez l'éducation à la propreté, comme pour un chiot</h2>
Surtout s’il a vécu en box en refuge, votre chien adulte peut avoir oublié les bases de la propreté (ou ne jamais les avoir acquises correctement). Vous devez donc reprendre les bases patiemment, même s’il apprendra surement plus vite qu’un bébé chien de 2 mois. 
Sortez-le régulièrement (toutes les heures ou toutes les deux heures), et accompagnez-le dehors car il peut être intimidé s’il sort tout seul dans le jardin. Patientez et félicitez-le immédiatement et chaleureusement quand il élimine (pipi, caca) ! 
S’il s’oublie à l’intérieur, ne le grondez jamais, et ne le punissez surtout pas : la propreté est un apprentissage par la récompense uniquement, à vous de le sortir suffisamment pour avoir l’occasion de le féliciter quand il fait dehors…
<h2>Expliquez-lui les règles de la maison, dès son adoption</h2>
Le plus beau cadeau que vous pouvez faire à ce chien quand vous l’adoptez, c’est de lui expliquer clairement quelles règles sont en fonction chez vous. Pas question de lui laisser faire tout ce qu’il veut pour le reprendre ensuite : ce chien a perdu ses repères, il a besoin d’un cadre clair et prévisible pour retrouver bien-être et apaisement. 
L’absence de cadre ou des règles inconstantes génère de l’anxiété, vous devez donc lui expliquer avec bienveillance, dès l’acquisition, ce que vous attendez de lui : 
Où il doit se coucher, où il doit dormir, et lui demander d’être capable d’y rester quand vous l’y invitez, 
Comment prendre contact avec les membres de la famille, par exemple avec les 4 pattes au sol (ou mieux « assis ») et non pas en sautant ou en mordillant les mains, 
Quels sont les interdits chez vous : le canapé et/ou les chambres et/ou la cuisine (etc.), car chaque famille a ses habitudes, et ce ne sont pas forcément celles qu’il a connues autrefois, 
Quels sont ses jouets et quels sont les objets qu’il ne doit pas toucher…etc.
<h2>Quand vous lui dites "non", donnez-lui la solution</h2>
Vous ne pourrez pas tout prévoir. Face à une nouvelle situation ou à quelques chose qui l’attire, votre nouveau chien ne pourra pas vous demander s’il a le droit ou pas de faire quelque chose : il va donc essayer de le faire et « voir ce que ça donne » ! 
Vous avez le droit de lui dire « non » fermement, mais vous devez toujours lui proposer une alternative, un comportement plus adapté pour le guider vers l’attitude préférable. Par exemple, s’il vous saute dessus, vous pouvez lui dire « non », et lui demander de s’asseoir quelques secondes : ensuite seulement, il aura droit à son câlin ou à une friandise. S’il réclame quand vous êtes à table, dites-lui « non » et invitez-le à aller se coucher dans son panier, etc.
<h2>Entraînez-le à rester seul dès l'adoption</h2>
Les chiens équilibrés sont capables de s’apaiser selon deux modalités : soit auprès de leur propriétaire, soit grâce au « nid », au « panier », à leur maison. C’est pourquoi les chiens équilibrés peuvent rester seuls sans paniquer. 
Pour les chiens adoptés à l’âge adulte, dans les mois qui suivent l’acquisition, cet équilibre est souvent rompu : le chien a tendance à reporter tout son attachement sur son nouveau maitre et il a du mal à trouver l’apaisement du « nid » lorsqu’il se retrouve seul. Des troubles liés à la séparation peuvent alors apparaître. 
Alors, dès son adoption, vous devez l’entraîner à rester seul sur de courtes périodes, si possible tous les jours. Ne lui faites pas d’adieux, ni de grandes retrouvailles, afin qu’il comprenne à votre attitude que rien de grave ne se passe. 
Si vous êtes en vacances au moment de son adoption, cette consigne est encore plus importante, afin de ne pas lui faire vivre un sevrage brutal quand vous reprendrez le travail !
<h2>Soyez vigilant avec les enfants et les autres animaux</h2>
Côtoyer de façon amicale des enfants de tous âges ou d’autres animaux (chats, poules, chevaux etc.) est un apprentissage du jeune âge (avant 4 mois). Si vous adoptez un chien adulte, vous n’avez probablement pas d’informations fiables sur sa petite enfance, et rien ne vous permet de savoir si votre chien a été habitué à côtoyer des enfants ou d’autres espèces et s’il les apprécie : le fait qu’il soit gentil et tolérant avec des adultes ne permet absolument pas de garantir qu’il se sentira à l’aise avec des enfants ou des animaux d'autres espèces. 
Soyez donc vigilants lors des premières rencontres : tenez votre chien en laisse, observez-le et dépistez les signes de malaise qu’il pourrait manifester. 
Ne lui faites pas subir de contact intrusif (caresses forcées, mise en contact brutale ou en liberté non contrôlée), et ne faites pas d’excès de confiance : un accident par morsure serait dramatique pour l’avenir de ce chien et de votre relation, or vous avez toute une vie commune pour lui donner plus de liberté, une fois que vous le connaitrez mieux.
<h2>Ne soyez pas trop exigeant, mais restez constant !</h2>
Les chiens qui changent de foyer ont plusieurs problèmes à résoudre : apprendre à aimer leur  nouvelle famille, comprendre les codes et les règles de leur nouveau foyer, se remémorer (ou apprendre) les « bonnes manières », rester concentré même quand tout les attire, surtout après plusieurs semaines ou mois passés dans un box en refuge ! 
Dans ces circonstances, votre rôle de propriétaire est de rester bienveillant mais très constant dans les règles et consignes éducatives que vous voulez lui apprendre, même s’il n’écoute pas toujours très bien ! Votre "autorité" reposera sur la constance de votre demande (et le fait de la répéter jusqu’à obtenir la réponse souhaitée), et sur votre capacité à faire cette demande sans vous énerver... afin de gagner la confiance de votre nouveau compagnon. 
Rappelez-vous : punitions et autoritarisme font illusion d’autorité et emmènent la relation vers la peur… Aucun chien ne peut trouver un équilibre dans ces conditions. 
Faites appel à des professionnels en qui vous avez confiance en cas de doute ou de problème, et rappelez-vous qu’il faudra quelques mois à un chien adulte pour s’attacher et s’adapter complètement à sa nouvelle famille, retrouver une structure et un équilibre… et réussir sa deuxième vie !
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Texte et photos : Jasmine Chevallier, Dr vétérinaire, DIE vétérinaire comportementaliste 
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